Remerciant infiniment le rapporteur de cette contribution formulèe en langage sur l'enjeu politique actuel en France et en supposant que toute opinion enrichit le débat au sein d'une dialectique du savoir par la participation, même avec les limites et les avantages d'un observateur extérieure à la nation française, Je voudrais exprimer ce qui suit.
Je crois que le président Macron a commis deux erreurs récemment, l'une en raison de son impulsion irrépressible à décider en tant que leader et l'autre en raison de sa tendance manifeste à privilégier des modèles de raison d'État qui ne correspondent pas au sentiment exprimé par le vote de nombreuses personnes.
En fait, la dissolution de l'Assemblée nationale, en raison de la manière abrupte et inattendue avec laquelle Macron l'a décidée, a glacé le sang en raison de la crainte, dans de nombreux milieux, que de nouvelles élections imminentes puissent amener l'extrême droite de M. Le Pen au pouvoir. Même si c’était un jeu réussi, parce que le résultat a renforcé Macron lui-même, c’était à mon avis un acte risqué qui a trop influencé l’esprit ou le psychisme collectif. Et il n'est jamais bon d'agiter les foules !
Deuxièmement, avoir proposé un gouvernement minoritaire dirigé par un représentant de droite, bien que doté d'un excellent curriculum vitae européen, que certains ont pourtant qualifié de "dinosaure", a sacrifié l'opinion des électeurs des 193 députés du NFP.
N'est-ce pas une manière de fausser la représentation que de nombreux citoyens ont exprimée par leur vote ?
S'il est vrai que l'esprit démocratique peut être interprété de diverses manières, n'est-il pas en même temps discutable de s'engager dans une voie qui n'implique pas un effort de médiation entre les différentes parties ? En fin de compte, la dimension démocratique n'est-elle pas le résultat d'un effort de médiation et de composition qui représente les différentes réalités sociales, malgré la nécessité de trouver une forme de gouvernement ?
Merci pour cette opportunité d’expression dans le langage et la politique actuelle.
Un résumé assez complet et compréhensif. Un(e) premier ministre comme Lucie Castets ne pouvait pas survivre et aurait une motion de censure. Avec Michel Bernier, un gouvernement sera possible si le RN le permet. La gauche n'a pas gagné, comme dit Mr Mélenchon, mais la volonté du peuple, et on voit ça avec l'élection du 7 juillet, c'est que le RN ne gouverne pas la nation. On va voir s'il faut faire des concessions à la extrême-droite pour pouvoir gouverner. J'espère que la France n'ait pas des élections l'année prochaine.
Remerciant infiniment le rapporteur de cette contribution formulèe en langage sur l'enjeu politique actuel en France et en supposant que toute opinion enrichit le débat au sein d'une dialectique du savoir par la participation, même avec les limites et les avantages d'un observateur extérieure à la nation française, Je voudrais exprimer ce qui suit.
Je crois que le président Macron a commis deux erreurs récemment, l'une en raison de son impulsion irrépressible à décider en tant que leader et l'autre en raison de sa tendance manifeste à privilégier des modèles de raison d'État qui ne correspondent pas au sentiment exprimé par le vote de nombreuses personnes.
En fait, la dissolution de l'Assemblée nationale, en raison de la manière abrupte et inattendue avec laquelle Macron l'a décidée, a glacé le sang en raison de la crainte, dans de nombreux milieux, que de nouvelles élections imminentes puissent amener l'extrême droite de M. Le Pen au pouvoir. Même si c’était un jeu réussi, parce que le résultat a renforcé Macron lui-même, c’était à mon avis un acte risqué qui a trop influencé l’esprit ou le psychisme collectif. Et il n'est jamais bon d'agiter les foules !
Deuxièmement, avoir proposé un gouvernement minoritaire dirigé par un représentant de droite, bien que doté d'un excellent curriculum vitae européen, que certains ont pourtant qualifié de "dinosaure", a sacrifié l'opinion des électeurs des 193 députés du NFP.
N'est-ce pas une manière de fausser la représentation que de nombreux citoyens ont exprimée par leur vote ?
S'il est vrai que l'esprit démocratique peut être interprété de diverses manières, n'est-il pas en même temps discutable de s'engager dans une voie qui n'implique pas un effort de médiation entre les différentes parties ? En fin de compte, la dimension démocratique n'est-elle pas le résultat d'un effort de médiation et de composition qui représente les différentes réalités sociales, malgré la nécessité de trouver une forme de gouvernement ?
Merci pour cette opportunité d’expression dans le langage et la politique actuelle.
Un résumé assez complet et compréhensif. Un(e) premier ministre comme Lucie Castets ne pouvait pas survivre et aurait une motion de censure. Avec Michel Bernier, un gouvernement sera possible si le RN le permet. La gauche n'a pas gagné, comme dit Mr Mélenchon, mais la volonté du peuple, et on voit ça avec l'élection du 7 juillet, c'est que le RN ne gouverne pas la nation. On va voir s'il faut faire des concessions à la extrême-droite pour pouvoir gouverner. J'espère que la France n'ait pas des élections l'année prochaine.
il a plus de deux fois l'âge d'Attal ! vive les vieux !